Gérer le contenu et décentraliser l'intelligence

Gestion de contenus : Décentralisez l’intelligence

Non ! Le webmaster de votre site allemand n’a pas pu mettre en ligne une publicité avec un produit US et un texte italien. Rassurez-vous. Plus d’alertes rouges nocturnes à l’ère des usines à sites à gouvernance décentralisée de la conformité des contenus. Une simple gestion automatique des autorisations fige les droits personnalisés de consommer et produire de l’info dans votre réseau partout sur la planète. H24. Et votre entreprise parle mondialement la même langue. La vôtre. PIM, hubs, logothèque… vos outils sont comme des mots avec lesquels chacun compose ses propres phrases. Une campagne marketing locale par exemple. Ce contrôle parfait constitue-t-il le meilleur moyen pour faire fleurir l’intelligence collective ?

Automatiquement valide

Oui. Les workflows qui règlent avec rigueur l’accès à l’information font aussi bien tout le contraire. Libérer l’humain. On exploite ainsi tout le potentiel d’une usine à sites. Cool, on a pensé à doubler la stimulation des créations de nouveaux contenus d’une validation automatique sous 48h. Top, on a même systématisé un passage par la case traduction. La justesse de ses actions se règle lors de la catégorisation initiale de vos contenus. Leurs objets indiquent à qui ils s’adressent et pourquoi. AODB verra comment. Nous peignons toujours le portrait d’une entreprise qui bouge en traduisant fonctionnellement ses messages multicanaux pour les exploiter typologiquement. Les flux peuvent se paramétrer sur mesure d’après les acteurs, les actions, les moments.

Problème perso

L’intelligence collective est-elle un concept fake et utopiste ? La question n’est pas philosophique. L’intelligence collective va naître mécaniquement des réseaux digitaux. Par besoin de contenus nouveaux. C’est le fond d’un site qui attire ses visiteurs. Sa forme est encore invisible lors de la recherche. On clique ici parce qu’on pense trouver la solution à un problème. L’esthétique rassure quant aux goûts communs. Cette règle BtoB + BtoC vaut évidemment dans les géographies d’une entreprise décentralisée. La liberté d’expression d’un membre de l’équipe trouve un sens si elle résout le problème d’un autre être humain. La logique de tous les utilisateurs digitaux rappelle vite cette loi de l’efficacité. Base d’interaction.

Chère info

Cherche information utile. Le reste, sur Internet n’est que fun, émotion, bruit. Ou info pro ! C’est-à-dire peu affective. À moins d’en être soi-même la source et de charger en affect le canal utilisé. C’est dans cette problématique qu’agit la gestion du fond dans une organisation décentralisée. La valorisation perso du contenu. La stimulation émotionnelle des initiatives individuelles est d’autant plus stratégique que les contenus nouveaux se font vite rares. Raison de plus pour capitaliser sur l’intelligence du réseau thésaurisée plutôt que de réinventer la hot water déjà découverte par les Australiens. Pour AODB, il n’existe pas de frontière entre consommation et création de contenus.  Il n’y a là aucun paradoxe. Lire, c’est savoir quand écrire. La boucle est vite bouclée.