Eliminer les régressions

Les sites internet actuels sont-ils devenus trop complexes ? Voilà bien une question d’être humain ! On sent une nostalgie du temps où un simple site avec page d’accueil faisait la fierté de toute une entreprise. Les machines plaident non coupables. Les F1 digitales n’auto-programment pas leurs bugs. Qui a réclamé l’ajout d’une foultitude de fonctionnalités sans tests sérieux préalables car dans l’urgence ? Si les écosystèmes sophistiqués des années 2020 donnent parfois des signes de régression, n’est-ce pas tout simplement parce qu’on leur en demande toujours plus ? Sans offrir à ces bêtes de course technologiques des arrêts au stand vitaux vus comme des freins à l’avancée de nos entreprises. Les machines heureusement nous ont trouvé une solution : l’Automation testing

Des tests détestés

Une entreprise d’aujourd’hui se sent souvent obligée de s’aligner sur le niveau de technologie, d’ergonomie et de design en vogue. Statut oblige. Mais on se prend vite au jeu de la performance. La perfection appelle la perfection. Toute baisse de qualité devient alors une faute lourde imputée au système. Mais la technologie n’y est pour rien. Le problème est pour beaucoup psychologique. Répondre aux nouveaux usages digitaux sans avoir une vague de retard est devenu un sport de niveau international. La seule idée d’une pause technique faire craindre de ne plus réussir à rattraper le reste de la planète. On mesure toute l’utilité d’une solution lorsqu’on craint d’en être privé. Alors, les tests…

Durée de vie doublée

Comment éliminer les régressions si l’on ne veut pas arrêter son activité pour lancer des tests forcément longs vu la complexité du système ? Comment éviter qu’un humain qui répare une erreur humaine ne commette à son tour une erreur humaine ? En intégrant un programme automatisé complet de tests permanents dans le fonctionnement même de votre écosystème. Sa durée de vie sera doublée par l’automatisation de ces procédures. S’enclencheront de même, à la moindre modification, des tests de sécurité, de graphisme, d’interaction…  Traduisez : la machine créée par l’homme fonctionne mieux lorsqu’on supprime le facteur humain. L’homme ne lui sert finalement qu’à lui fournir de nouveaux usages auxquels répondre.

Torture test

Prêts pour tester les tests de performance intégrés ? Afin d’éprouver leurs performances, AODB les a soumis au pire torture test : le déploiement d’un projet accueillant un grand public sans limite. L’application a été montée sur un serveur virtuel. Des vagues simulant l’arrivée de 100 nouveaux visiteurs ont été programmées toutes les 30 secondes. Jusqu’au bug désiré ! L’identification de cette limite a permis un réglage conséquent du système. Devenue organisme vivant, la machine s’auto-protège. Sans plus d’état d’âme que lorsqu’elle envoie une alerte, elle peut aller jusqu’à refuser toute modification en ligne contraire à ses protocoles. Vous allez adorer son sale caractère.